Prières :

 


Pour ce dimanche pour la journée de le TERRE

 Vient du Réseau mondial de la prière du Pape.

 « Il y avait un jardin qu’on appelait la terre

 Il était assez grand pour des milliers d’enfants

Il était habité jadis par nos grands-pères

Qui le tenaient eux-mêmes de leurs grands-parents »

Il y avait un jardin où Dieu nous a fait naître

Il nous l’avait donné pour qu’on en soit les maîtres

Nous en avons joui sans vouloir reconnaître

Qu’il était si fragile et qu’il pouvait mourir

Et la peur et la honte me prennent quand je regarde

ces images qui montrent les blessures que garde

la terre, notre maison, ce que nous en faisons

Mon Dieu, miséricorde, je te demande pardon

Puisqu’il est temps encore, Seigneur nous te prions

toi qui entends nos cris vers toi nous nous tournons

Soutiens-nous dans l’effort pour retourner le monde

pour entendre son mal, pour changer notre vie

Pour qu’un jour nos enfants reçoivent de nos mains

La terre comme un jardin.

Prions pour tous ceux et celles qui ont à cœur la survie de notre planète ; que leurs efforts soient reconnus afin que nous protégions la vie et la beauté.

 


 

  À l'aube de ce jour où nous partions à deux, tu t'en souviens, Seigneur, notre coeur était dans la joie. Sur une route toute neuve, nous sommes partis ensemble, avec notre amour et nos projets.

Notre foyer, nous avons voulu le fonder dans l'amour. Nos alliances étaient le symbole de la solidité de notre union.

Nous avons connu la beauté de l'amour, mais aussi la fragilité de la vie à deux.

Et les enfants sont venus. Avec eux, notre amour a pris une nouvelle dimension : il s'est fait tendresse et fermeté, attention et compréhension. Il nous a fallu respecter le cheminement de chacun et accepter qu'ils ne pensent pas comme nous.

Seigneur, nous te le demandons, reste avec nous. Le bonheur, tu le sais, est toujours fragile. Aide-nous à marcher main dans la main, comme au premier matin. Donne-nous le souci constant de la vérité qui permet la croissance de la confiance mutuelle.

Aujourd'hui Seigneur, nous voulons te dire MERCI. Un merci bien reconnaissant pour toutes les fois où nous avons oublié de le faire.

Merci d'avoir été avec nous dans nos joies et dans nos peines, dans nos réussites et dans nos échecs.

Merci pour les enfants que tu nous as confiés. Avec eux, jour après jour, nous avons créé l'âme de notre maison.

Merci pour tous nos parents et tous les amis que tu as mis sur notre route : tous ceux-là qui ont partagé avec nous le précieux confort de l'amitié.

Seigneur, nous n'oublierons jamais tes bontés : celles d'hier et celles d'aujourd'hui. Merci pour les joies et les peines que tu nous réserves encore. Amen.

Auteur inconnu

PRIÈRE POUR MON ÉVÊQUE  

Aujourd’hui, Seigneur, je veux prier pour mon évêque

À chaque Eucharistie, c’est vrai, son nom est prononcé

Mais je n’y fais pas toujours attention.

 

Je pense que son travail n’est pas facile

Évêque de tous.

Il écoute ceux qui disent blanc, il écoute ceux qui disent noir.

Il rencontre les pauvres. Il rencontre aussi les riches.

Il parle avec les grands chefs mais il parle aussi avec moi

Quand je le rencontre.

 

Il doit décider sans être partisan.

Il doit toujours bénir sans, pour autant, tout bénir.

Il doit tout comprendre mais sans pour autant tout admettre.

 

Je dois voir en lui la présence de Dieu mais lui-même ne doit jamais se prendre pour Dieu.

Il reçoit des honneurs mais il veut rester humble.

Il a du pouvoir et doit se vouloir serviteur.

 

Décidément, Seigneur, être évêque, ce n’est pas un métier!

 

…J’entends que tu réponds :

« Non, ce n’est pas un métier….C’est une vocation et une mission ».

Alors, Seigneur, puisque c’est toi qui l’as appelé, puisque c’est toi qui l’as envoyé chez nous, alors, surtout, ne l’abandonne jamais.

Auteur: Louis Sintas


 PAS FACILE D'ÊTRE CURÉ AUJOURD'HUI

 

 

 

  • S’il prêche plus de 10 minutes : il n’en finit pas!  S’il fait court : il est superficiel!

  • S’il est en soutane ou en clergyman : il est intégriste ou psychorigide!  S’il est en civil : il a peur de montrer qu’il est prêtre!

  • S’il parle de contemplation de Dieu : il plane! S’il aborde les problèmes sociaux : il vire à gauche!

  • S’il va travailler en usine : c’est qu’il n’a rien à faire!  S’il reste en paroisse : il est coupé du monde!

  • S’il marie et baptise tout le monde : il brade les sacrements.  S’il devient plus exigeant : il veut une Église de purs!

  • S’il reste à la cure : il ne voit personne|  S’il fait des visites : il n’est jamais là!

  • S’il réussit auprès des enfants : il a une religion de gosse! S’il va voir les malades : il a du temps à perdre et il passe à côté des problèmes de son temps!

  • S’il fait des travaux à l’église : il jette l’argent par les fenêtres!  S’il ne fait rien : il laisse tout à l’abandon!

  • S’il collabore avec son conseil paroissial : il se laisse mener par le bout du nez!  S’il n’en a pas : il est trop personnel|

  • S’il sourit facilement : il est trop familier!  S’il distrait ou préoccupé, il n’a pas vu quelqu’un : il est trop distant!

  • S’il est jeune : il n’a pas d’expérience! Si il est âgé : il devrait prendre sa retraite!


Dis, Papa, Je t’Aime!

 Tu sais, papa il y a quelque chose que je veux te dire.

 Quand j’avais deux mois, tu m’embrassais tous les jours.  Tu étais fier de ton fiston.  Mais moi, je ne pouvais t’embrasser, j’étais trop petit.  Quand j’ai eu deux ans, tu jouais avec moi tous les jours, tu étais fier de m’apprendre des trucs.  Je me collais sur toi et tu m’embrassais.

 Quand j’avais 12 ans, tu t’intéressais à tout ce que je faisais, tu m’emmenais à la patinoire du coin ou au Forum voir le grand Canadien; je grandissais aux côtés de ton expérience.  Tu me donnais une petite tape dans le dos, je te regardais avec admiration. 

 À 16 ans, je te présentais ma première blonde, tu l’aimais autant que moi.  Tu étais fier de moi.  Tu me serrais fort les épaules en disant que tu m’aimais, mais j’étais gêné que tu le fasses en présence de mes amis.

 Lors de mon mariage, à 21 ans, tu ne portais plus à terre.  Fiston quittait la maison.  Tu m’as embrassé à l’église, je me souviens, et j’en étais tout rouge.  On a pris un coup ensemble ce soir-là et tu me rappelais ma « jeunesse ». 

 Quand le petit est né, alors que j’avais 25 ans, tu devenais grand-papa et tu rajeunissais.  Tu es retombé en enfance en recommençant tous tes trucs avec « mon fiston ».  Tu m’as encore embrassé quand le petit est né, je m’en souviens, c’était à l`hôpital. 

 Quand j’ai eu 30 ans, tu as emmené mon fiston à la patinoire du coin quand je devais travailler.  Le soir, à la maison, en te regardant, tu lui as dit combien tu étais fier de moi et tu m’as embrassé.  Je m’en souviens, on était dans la cuisine. 

 Quand j’avais 35 ans, un peu marqué par l’âge, tu m’as téléphoné quand j’ai perdu mon boulot, et tu pleurais pour moi, même si tu n’y pouvais rien.  Tu m’as dit, je m’en souviens, « quoi qu’il arrive, je t’aime ».

 Plus tard, quand tu as appris que moi, ton fils, j’allais devenir grand-papa à mon tour, faisant de toi un arrière grand-papa comblé, tu as pleuré et tu m’as sauté au cou en disant que tu m’aimais. 

 Papa, il y a quelque chose que je veux te dire à mon tour.  J’aurais dû te le dire depuis très longtemps.  Tu sais papa, je t’aime.  Je veux te le crier.  Je veux t’embrasser.

 Papa, si tu n’étais pas mort la semaine dernière, je t’aurais embrassé ce soir au réveillon de Noël.


 

Prière du matin     

Seigneur :  dans le silence de ce jour naissant
Je viens te demander la paix, la sagesse, la force.
Je veux regarder aujourd’hui le monde.
Avec des yeux tout remplis d’amour
Être patient, compréhensif, doux et sage.
Voir au-delà des apparences
Tes enfants comme tu les vois toi-même.
Et, ainsi ne voir que le bien en chacun.
Ferme mes oreilles à toute calomnie
Garde ma langue de toute malveillance.
Que seules les pensées qui bénissent demeurent en mon esprit.
Que je sois si bienveillant et si joyeux
Que tous ceux qui m’approchent sentent ta présence.
Revêts-moi, de la beauté, Seigneur.
Et qu’au long de ce jour je te révèle.
Auteur inconnu


Tricote de ton mieux
Dieu nous donne la laine et les aiguilles.
Il nous dit :  « Tricote de ton mieux, une maille à la fois ».
Une maille est une journée sur l’aiguille du temps.
Dans un mois, 30 ou 31 mailles.
Quelques unes sont à l’endroit; d’autres sont à l’envers.
Il y aussi des mailles échappées; mais, ont peut les reprendre.
Que de mailles manquées.
La laine que Dieu m’a donnée, pour tricoter ma vie,
Est de toutes les couleurs.
Rose comme mes joies;
Noire comme mes peines;
Grise comme mes doutes;
Verte comme mes espérances;
Rouge comme mes affections;
Bleue comme mes désirs;
Blanche comme don total à celui qui j’aime.
Seigneur, donne-moi le courage
De terminer mon tricot
Afin que Tu le trouves digne
De l’exposition éternelle des travaux des hommes.
(Auteur inconnu)

 


PRIERE DE L'ALZHEIMER

Si un jour j'oublie qui je suis, soyez la mémoire
de mon âme et je saurai que j'existe encore,
Si un jour je ne sais plus où je vais,
donnez-moi votre bras pour soutenir mes pas,
Si un jour je ne sais plus me nourrir,
portez à mes lèvres une cuillérée de souvenirs
pour que mon esprit retrouve une partie de mon histoire.                  
Si un jour je ne sais plus boutonner ma veste,
habillez-moi de soleil pour que je sente sur ma peau
la chaleur de votre amour, placez un chapeau
sur ma tête pour que le reste de mes pensées
ne s'envole pas dans le néant.
Si un jour je ne sais plus prendre soin de mon corps,
avec tendresse nettoyez mes erreurs et
emmitouflez-moi dans une couverture
au parfum de pardon,
Si un jour j'oublie qui vous êtes, ne vous affligez point;
j'aimerai revoir votre sourire et vous redécouvrir cent fois.
ll vous suffit d'ouvrir votre coeur pour constater que,
en tout temps, votre nom est gravé au plus profond du mien.
(Source: Société Alzheimer du Suroît)